Mato Grosso

Quand je m’éloigne de l’Europe elle rétrécie, elle prend sa juste place. Les politiques qui semblent presque grands quand on est près d’eux deviennent lilliputiens dès que vous franchissez deux ou trois frontières. Leurs gesticulations sont à peine comparables à quelques frémissements d’antennes chez des fourmis en quêtes d’informations. Je vole vers le Mato Grosso, au revoir, arrivederci, à bientôt. En attendant je vous offre cette petite photographie.

T.L.

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