Chapitre XXV

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Si jamais les clanpins lisent ces histoires, je suis foutu. J’aurais dû changer de nom, Tant pis, tant mieux comme dirait Bernard Heidsieck, je ferais mon sérieux une autre fois. La fréquentation des déesses vous assouplie le caractère, avec l’Artémis au début on a tellement la trouille qu’on préfère penser à autre chose sans bien savoir à quoi. C’est comme l’art, si on pense trop c’est raté, si on ne pense pas assez c’est raté aussi, c’est une navigation dangereuse. Il était un petit navire qui n’a jamais…
Tu chantes faux.
Tient la voilà revenue la Vénus, je la croyais endormie comme dans le tableau de Giorgione.
Je ne dors pas, je me caresse l’entre-jambes!
Je ne vous demande pas ce que vous faites dans les tableaux, c’est vrai que Giorgione me plait bien, c’est l’autre que je ne peux pas encadrer, celui de Tiziano où on vous voit vous faire peloter par des bambins grassouillets, pendant qu’un guignol vous joue un petit air. Un peu de tenue quand même!
Tout ça, c’est la faute à Platon, toi tu es trop terre à terre, tu n’aimes pas le ciel, quel culot de pratiquer le toucher du modèle après tu nous as parlé de la toilette du modèle et maintenant de la toilette intime…
Je n’en parle pas beaucoup, j’examine le sujet dans le cadre de la liberté du modèle et je n’ai pas encore avancé bien loin. Ne vous inquiétez pas, je vous tiendrais au courant.
Les déesses et les nymphes ne détestent pas un brin de toilette et on reste dans les grands sujets de l’art classique. Watteau nous à montré le début à nous de dévoiler la suite.

 

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