Tu es d’une grossièreté sans égale, je n’ai jamais vendu mes charmes comme tu le dis, a la rigueur, j’en fais profiter ceux qui m’honore, je ne suis pas comme toi qui essaye, heureusement sans aucun succès, de placer tes histoires.
Là vous exagérez, nos conversations, je ne les vends pas, j’en fais cadeau aux contemplateurs de mon œuvre (hein ça c’est tapé comme réflexion!). Mon blog, ouf quel vilain mot, mon blog est gratuit et je pourrais chanter :
« le voilà le joli blog au guet… »
« Paul-Armand ne fait pas le fou » comme te le disait une charmante Toulousaine il y a quelques années en te menaçant de son index.
Vous en savez des choses !
Je suis divine.
Bon ça va pour aujourd’hui, je pars à Nantes demain et j’ai du travail…
Il n’y a pas une affaire de digue concernant cette ville ?
Taisez-vous, sur votre montagne vous ne risquez rien, mais ici règne la peste, alors bouclez la un peu…
Ce que tu peux être nerveux ces derniers temps, tu ne m’as encore rien dit de tes voyages dans le sud des Amériques. J’ai seulement aperçu quelques images, Paula, Connie, Marcela, Diana et il me semble que le carnaval de Rio c’est de la gnognote à côté de ce que tu as vu en Colombie. D’où sortent ces culottes sur une boîte de gâteaux ?
Ce sont celles de Connie.
Alors tu bouffes des gâteaux avec Connie et elle quitte ses culottes ?
Mais non, c’est un effet de l’art, une composition si vous voulez,.
C’est bien ce que je disais, le carnaval de Rio…
A Cali, je préparais une exposition et Connie me donnait un petit coup de main…
En quittant ses culottes ?
Vous ne manquez pas d’air et je me passerais volontiers de vos réflexions, vous feriez mieux de reconnaître les qualités plastiques de mes Natures …
Mais c’est toi qui parles sans cesse du sujet. Avec Cézanne je n’avais pas ce genre de problème, les torchons je m’en balance alors que les culottes …