D’abord, je n’étais pas au bord de l’Arno et arrête de te plaindre ça va assez mal comme ça, quant à « tes côtés » n’exagère pas sinon on va te prendre pour un polyèdre. Pour le reste, je suis assez d’accord avec toi, mais n’en profite pas pour autant. C’est vrai que tu as l’habitude de demander la permission ce qui laisse un temps de réflexion avant de savoir si on en a envie ou pas. Ce n’est pas encore Byzance, mais c’est un progrès par rapport à ce que nous venons de voir.
Comment vont les déesses, les Nymphes et les fées ?
J’espère que tu t’y retrouves, mais enfin comme tu es toujours là, tu n’as pas dû les agacer trop souvent. Attention quand même, surtout avec tes Artémis, je n’ai pas envie de te retrouver transformé en dix cors, avec ta taille tu ne passerais plus sous les portes.
Tu viens juste d’en finir avec tes 0m. dans la vallée du Bès et voilà que tu remets ça à Marseille l’année prochaine, tu vas nous sortir une rétrospective de tes activités zéro métriques ? Sur les volcans, ils n’aimeront pas forcement, mais sur Connie, Laure, Véronique ou Catherine, ils n’aimeront pas du tout.
Etant attachée à tes activités divergentes autant que divagantes, j’aimerais t’entendre sur tes occupations estivales car je sais que tu as fréquenté autant le bord de la mer que les hêtres que tu t’obstines à appeler Fagus sylvatica L. sans doute pour dissimuler tes bien curieuses manières. On t’a vu y mettre ton 0m. ou la main dans la moindre anfractuosité, après le « toucher du modèle » tu te mets au toucher de l’hêtre, connaissant mal ta langue, je croyais que c’était la même chose avec votre déplorable habitude de ne pas prononcer la lettre h.
Ma chère Tenebria, mon historienne Etrusque préférée,
Ce que tu racontes est assez bien vu, je ne pense pas avoir grand chose à ajouter, quant à ce que j’ai fait sur la plage, je ne manquerais pas de te montrer des images qui, j’en suis persuadé, te permettront d’écrire une chronique que je m’empresserai de publier. Aujourd’hui, je te montre une toilette un peu intime qu’il ne tient qu’à toi d’expérimenter.