Feuille d’automne

Ô tristesse infinie !
Ô désespoir sans fond !
Le rêve s’est enfuit

Moi qui voyait déjà
Le petit linge des demoiselles
Garnir les murs de la prison adolescente.
Hélas un « join » malencontreux
D’un paraphe prétentieux
A couper l’élastique de mes débordements.

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