L’autre jour à Auzet on m’interrogeait sur les causes de mon peu de goût pour le paysage et ma réponse fut sans ambiguïté, il est pour moi trop loin, je préfère ce qui est à portée de la main. Ainsi plus de discussion possible, le problème est réglé, mon œuvre est toute de voisinage, elle englobe ce regard si rapproché que l’œil n’est plus capable de fournir une image nette, c’est le moment ou le toucher est pratiquement oculaire. Continuer la lecture de Je ne l’aime vraiment pas, le paysage!