1 – Que vais-je faire maintenant ?
Ben, continuer pourquoi pas, comme je l’ai toujours dit pour « passer le temps », enfin le mien car faire passer celui des autres c’est un peu plus difficile. Continuer la lecture de Deux questions-réponses
1 – Que vais-je faire maintenant ?
Ben, continuer pourquoi pas, comme je l’ai toujours dit pour « passer le temps », enfin le mien car faire passer celui des autres c’est un peu plus difficile. Continuer la lecture de Deux questions-réponses
Rien ne sert d’essayer de lui trouver des dénominations, il s’en fout. Qu’il soit anté, post ou moderne tout court ne change rien à l’affaire, à l’extrême rigueur tout ce que vous pourriez dire c’est qu’il est contemporain bien que ce soit une caractéristique très fugace qui vous obligerait en plus à préciser de qui ou de quoi, sinon il le serait de tout, ce qui fait vraiment beaucoup… Envisagée de cette façon d’énormes pans des discours tenus sur lui s’effondrent, ce qui est somme toute bien réjouissant. Continuer la lecture de L’art, il faut s’en occuper tous les jours
Quand on vit dans le temps de l’incohérence, de la divagation et de la gesticulation, l’art paraît une île au cœur de la tempête, même si, hélas, une frénésie gagne certains de ses acteurs. Continuer la lecture de … courir après le temps perdu !
Certes il n’y est pour rien « le jour » il va se lever comme d’habitude et le poing il est un peu comme le plat du même nom, mais enfin, aujourd’hui, c’est peut-être tout ce qui nous reste comme argument. Je vous l’offre comme sujet de réflexion.
En somme j’ai bien commencé le mois de Février. Cela dit je vais pouvoir me consacrer à autre chose. Continuer la lecture de Le poing du jour
L’art suscite souvent l’écriture, il est difficile de rester silencieux devant lui. Si la musique par son immatérialité ne pose jamais de problèmes à la censure par contre les arts, qui font appel à l’œil, peuvent agiter ceux qui redoutent la remise en question des contraintes que les détenteurs du pouvoir nous imposent.
Ils les inventent au fur et à mesure que la panique les gagne. Précédemment il y avait bien l’âme, cet implacable ennemi du corps, aujourd’hui elle semble avoir perdue de son efficacité et les règles religieuses relativement usées sont de plus en plus remplacées par des lois civiles quand l’affolement s’installe. Continuer la lecture de La boîte du titre