J’avais à peu près compris ce que tu racontais avec tes coquillages, ta danseuse et le reste, mais il a fallu que tu balances « les chaussures de Cendrillon » à la fin de ton texte. Qu’est-ce qu’elle vient faire celle-là sur la plage ?
Je ne sais pas, elle avait quitté ses chaussures pour entrer dans l’eau, alors elles m’ont fait penser à l’autre dont je m’entretenais à Alès avec Didier Trenet en 2010. Je doute que mes explications te satisfassent mais ces petits souliers roses comme abandonnés sur le sable évoquaient une Cucendron échappée à sa marâtre et rafraîchissant ses pauvres pieds dans l’eau glacée de la mer scandinave. Que veux-tu que je te dise, je ne suis pas responsable de ce que le bord de mer peut offrir aux promeneurs. J’avais l’intention de t’entretenir de tout autre chose si tu ne m’avais pas troublé avec ta question, tu sais que je déteste l’automne ainsi que l’hiver et que mon humeur s’en ressent ce qui n’arrange rien. C’est « la peinture » dont le déferlement prend aujourd’hui des allures de tsunami qui me donne des cauchemars. Continuer la lecture de Echange un peu vif !