Après ce regard si rapide de la caméra, je ne vais pas vous bassiner avec la température qui chute en dessous d’un 0 (° Celsius) très quelconque ne frôlant même pas l’absolu, ce qui aurait eu au moins l’avantage de calmer une certaine agitation. J’aurais pu en remettre une petite couche avec les jolis effets que cause un corps plongé dans un liquide et vous montrer d’autres altérations du film de sa surface toutes aussi surprenantes les unes que les autres, en prenant le risque de me faire traiter d’amuseur, ce qui aurait été loin de me déplaire tout en contrariant certainement ma chère Tenebria qui n’aime guère me voir m’aventurer hors des bien rectilignes chemins de l’art.
Maintenant vous vous demandez ce que je vais bien pouvoir sortir de mon sac, alors que moi, je suis contraint de continuer à écrire parce que je n’en ai aucune idée et qu’ayant souvent brocardé l’inspiration j’aurais mauvaise grâce de vous dire que je vais attendre sa visite, c’est à dire faire une pause, ou dormir pourquoi pas pour lui laisser le temps d’arriver.
Heureusement, pour moi, que mes tiroirs sont pleins, et qu’y fouillant tout à l’heure pour y chercher… je ne sais déjà plus quoi, j’ai retrouvé un cadeau de Brion, son kaléidoscope, celui qui arrange autrement ce que l’on regarde et alors on ne sait plus dans quel monde on se trouve.
TL – C’était quoi pour toi cet instrument : une « Dream Machine »?