Ah, ça ira…

Encore une fois, ils s’en prennent (les abrutis de l’Université de St Etienne) à ma chère Lydie, ils n’en veulent pas de sa thèse pour la publier. Ah, je lui avait bien dit que choisir avec tant d’obstination un sujet pareil (l’ensemble de mes « perturbations ») allait les chatouiller au mauvais endroit eux qui sont des abrutis sérieux bien décidés à le rester.

On ne rigole pas avec ces choses là, photographier les petites filles, toucher le modèle en lui demandant la permission puis procéder, parfois, à sa toilette intime, installer des 0m. sur le Mont Ventoux et sur le Mont de Vénus, en voilà des manières pas catholiques qui ne plaisent à personne. Même quand je les entretiens des Effets de la mécanique des fluides, ils ont les commissures gelées, il faut dire que j’ai le chic pour agacer, tout petit déjà, je me penchais sur les fleurs et l’entre-jambes de mes petites amies, ce qui prouve que j’avais un grand sens de la continuité et un amour inconsidéré d’une logique que j’irais, plus tard, chercher du côté de Lewis Carroll. Ce sont des idées pas correctes de lire Alice ou se balader de l’autre côté du miroir, comme le disait si bien Brion Gysin Mirror error, donc au trou saloperie d’artiste. On comprend enfin où il voulait en venir avec ses contributions à l’étude des lieux restreints !

C’est pas tout ça, mais après demain il faut que j’aille à Marseille où Juliette m’attend et la semaine prochaine, j’irais dans l’étroite vallée du Bès où je rencontrerai Emma, les « cheveux de Vénus » et les « splendeurs de la nuit », c’est dire si j’ai encore un peu de quoi m’occuper pour passer mon temps de la plus agréable des façons. Ah, ça ira…