D’une fleur à l’autre


Paulo tu exagères avec tes touchers de fleurs qui ne trompent personne, pour reprendre ton expression, ils sont ob-scènes. Je comprends bien tes intentions et je t’imagine en train de rigoler de la tête que feront tes lecteurs en ouvrant ton blog, tes lectrices elles vont encore une fois te pardonner, enfin peut-être pas toutes. Un de ces quatre, je vais faire comme Lydie qui parle avec tes modèles, moi je parlerais avec tes lectrices pour savoir ce qu’elles pensent de toi. Tu as de la chance que les fleurs n’aient pas de mains, ça t’évite de recevoir les claques que tu mérites. Continuer la lecture de D’une fleur à l’autre

J’ai du retard !

Non ce n’est pas ce que tu penses, mauvais esprit.

J’ai bien vu tes incursions dans la porcelaine cet été, dont l’une au moins était un peu éléphantesque, d’une part tu la cassais et d’autre part tu serrais dans ta main les petits boudins qu’Amandine te préparait pour faire ce qu’après cuisson tu appelas un poing… c’est tout !

Moi je veux bien, mais ce n’était pas un poing mais l’intérieur du tien, enfin passons, l’art n’est pas coutumier de la précision et après de grandes recherches, j’ai compris que tu jouais avec les mots alors que j’avais primordialement crue que tu avais fait une faute d’orthographe. Tu pourrais penser aux étrangers comme moi qui essayent de comprendre ce que tu racontes. Continuer la lecture de J’ai du retard !

Ah, ça ira…

Encore une fois, ils s’en prennent (les abrutis de l’Université de St Etienne) à ma chère Lydie, ils n’en veulent pas de sa thèse pour la publier. Ah, je lui avait bien dit que choisir avec tant d’obstination un sujet pareil (l’ensemble de mes « perturbations ») allait les chatouiller au mauvais endroit eux qui sont des abrutis sérieux bien décidés à le rester.

On ne rigole pas avec ces choses là, photographier les petites filles, toucher le modèle en lui demandant la permission puis procéder, parfois, à sa toilette intime, installer des 0m. sur le Mont Ventoux et sur le Mont de Vénus, en voilà des manières pas catholiques qui ne plaisent à personne. Même quand je les entretiens des Effets de la mécanique des fluides, ils ont les commissures gelées, il faut dire que j’ai le chic pour agacer, tout petit déjà, je me penchais sur les fleurs et l’entre-jambes de mes petites amies, ce qui prouve que j’avais un grand sens de la continuité et un amour inconsidéré d’une logique que j’irais, plus tard, chercher du côté de Lewis Carroll. Ce sont des idées pas correctes de lire Alice ou se balader de l’autre côté du miroir, comme le disait si bien Brion Gysin Mirror error, donc au trou saloperie d’artiste. On comprend enfin où il voulait en venir avec ses contributions à l’étude des lieux restreints !

C’est pas tout ça, mais après demain il faut que j’aille à Marseille où Juliette m’attend et la semaine prochaine, j’irais dans l’étroite vallée du Bès où je rencontrerai Emma, les « cheveux de Vénus » et les « splendeurs de la nuit », c’est dire si j’ai encore un peu de quoi m’occuper pour passer mon temps de la plus agréable des façons. Ah, ça ira…