La fuite en avant !


Durant le printemps 1968, j’ai eu une lueur d’espoir, les cons qui nous dirigeaient ont eu la trouille, hélas elle n’a pas duré longtemps et encore aujourd’hui ils dorment tranquilles.

Qu’est-ce que vous dites ? Que ne ce sont plus les mêmes. Ah bon vous êtes certains ?

Je regrette beaucoup, je ne vois pas la différence, de toute façon ce n’est pas de ça que je voulais vous entretenir. Continuer la lecture de La fuite en avant !

J’ai du retard !

Non ce n’est pas ce que tu penses, mauvais esprit.

J’ai bien vu tes incursions dans la porcelaine cet été, dont l’une au moins était un peu éléphantesque, d’une part tu la cassais et d’autre part tu serrais dans ta main les petits boudins qu’Amandine te préparait pour faire ce qu’après cuisson tu appelas un poing… c’est tout !

Moi je veux bien, mais ce n’était pas un poing mais l’intérieur du tien, enfin passons, l’art n’est pas coutumier de la précision et après de grandes recherches, j’ai compris que tu jouais avec les mots alors que j’avais primordialement crue que tu avais fait une faute d’orthographe. Tu pourrais penser aux étrangers comme moi qui essayent de comprendre ce que tu racontes. Continuer la lecture de J’ai du retard !

Tenebria se manifeste


Je m’étais mise au silence pour ne pas troubler le bruit assourdissant que tu faisais en cassant la vaisselle à St. Yrieix. Maintenant que ta crise est passée, je vais peut-être pouvoir en placer une !

Finalement, c’était bien vu ton « fracassage » de porcelaine par rapport à l’ordre ambiant et comme je suis en train de te faire des compliments, j’ajouterais que ton Poing…c’est tout en dit assez long sur ton état. Paulo, il faudrait voir à te calmer un peu, à ton âge les émotions ne sont pas bonnes. C’est surement mieux pour toi quand tu mets les mains dans la confiture, quoi que. Continuer la lecture de Tenebria se manifeste