Belle et intelligente présentation de cette exposition au Palais de Tokyo. La seule critique pourrait porter sur la partie concernant les artistes auxquels il s’est référé, elle n’était pas nécessaire. Les deux autres volets du « triptyque » sont parfaits : « Bastard creature » et les œuvres de l’artiste. Celles-ci sont d’une force et d’une justesse tout à fait remarquables en ce temps de grande médiocrité politique.
Steven Parrino – Rétrospective 1981-2004 du 24 mai au 26 août
Le Palais de Tokyo
13, avenue du Président Wilson
75116 Paris
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