Monsieur Magritte (prolongement)

TL – Je comprends mieux certaines de tes images vues sur ton web log (10 juillet 2007 et 9 octobre 2011), après Cranach, Magritte…
PA – Arrête, tu vas me faire rougir (de plaisir), tu as raison je ne suis pas né de rien du tout et je me sens en sympathie avec eux.
TL – Tu choisis bien tes amis, heureusement pour toi que tu n’as pas la notion du temps. En somme quand tu as fait la toilette (intime !) des fentes d’arbres (Fagus sylvatica L.) dans le parc de Malmö, tu faisais celle de quelques Nymphes.
PA – Ah, tu as tout compris et aussi quand je faisais celle d’Enna, de Corinne et quelques autres, tu es une merveilleuse critique qui voit enfin ce qui me lie à ce qui m’a précédé. Je n’ai nul besoin d’inspiration, juste de prendre la suite. Tinuons, tinuons…
TL – Tu deviens gâteux, tu ne peux plus prononcer les mots en entier ?
PA – Ma maman m’a apprit qu’il ne fallait pas dire « con », que c’était un gros mot, ce que je ne comprenais pas très bien car avec trois lettres il n’est pas bien gros, mais enfin si on le dit.
TL – Ça suffit pour aujourd’hui. Met vite une image et vient, je vais te montrer et t’expliquer.
PA – Oh oui !

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